Les enregistrements de brevets et de marques commerciales peuvent sembler être beaucoup de paperasse ennuyeuse pour certaines personnes. Cependant, pour le public des motos et des voitures, ils sont souvent assez intéressants, car ils peuvent nous donner un aperçu de l’avenir. En août 2023, par exemple, Toyota a déposé une demande de marque commerciale pour le nom « Land Hopper » au Japon, comme l’ont rapporté nos collègues de Motor1.
Le 21 octobre 2023, alors que l’anticipation pour le Salon de l’automobile japonais 2023 augmentait, Toyota a enfin révélé ce qu’est réellement le Land Hopper. Après tout, c’est un « concept de mobilité personnelle électrique à trois roues ». Fondamentalement, c’est un tricycle électrique, mais plus dans le sens d’un cyclomoteur que d’une grosse moto.
Toyota n’a pas publié beaucoup de détails techniques sur le Land Hopper – ce qui a également du sens, car cela fait partie d’une annonce plus large sur ce qu’il apporte au Salon de la mobilité japonaise.
La première chose à noter est que le Toyota Land Hopper n’est pas seulement un tricycle – c’est un tricycle pliable. Toyota le présente comme un véhicule de transport à courte distance, quelque chose que vous pouvez ranger dans votre voiture ou fourgonnette et utiliser pour visiter les environs une fois arrivé.
Le Toyota Land Hopper ne nécessite pas de permis de conduire moto au Japon, et probablement pas dans la plupart des pays. Le Japon a un système de permis d’apprenti pour les motos, mais les véhicules qui répondent à certaines exigences (y compris la capacité de rouler à basse vitesse) peuvent être conduits par des conducteurs de plus de 16 ans sans avoir besoin d’un permis de conduire moto.
Cela est également vrai en Europe et dans la plupart du reste de l’Asie, donc c’est aussi une considération importante si et quand Toyota prévoit de commercialiser le Land Hopper en dehors du Japon.