Leclerc n’a pas pu résister longtemps aux avancées de Mercedes. Charles Leclerc a reconnu qu’il ne pouvait pas considérer sa quatrième place au Grand Prix de Belgique de Formule 1 comme un « positif » en raison du manque de rythme de Ferrari par rapport à Mercedes. Leclerc a hérité de la pole position après la pénalité de Max Verstappen, mais il a glissé derrière les deux pilotes Mercedes et Oscar Piastri de McLaren pendant la course.
Malgré un départ en tête de la course, Leclerc n’a pas pu empêcher Lewis Hamilton de le dépasser sur la ligne droite de Kemmel au troisième tour. Leclerc a conservé sa position après les arrêts aux stands, mais une baisse de rythme dans le dernier relais a permis à Piastri de le dépasser et il n’a pas pu rattraper George Russell, qui n’a fait qu’un seul arrêt aux stands. Cependant, Leclerc s’est défendu avec succès contre Max Verstappen et Lando Norris dans les derniers tours et a hérité d’une place sur le podium après la disqualification de Russell. Leclerc a admis que le manque de vitesse de Ferrari était le principal facteur de son résultat, affirmant qu’ils étaient la quatrième voiture la plus rapide sur la piste. Il a également exprimé sa déception que Mercedes ait dépassé leurs attentes.
Leclerc avait prédit que Ferrari serait en mesure de rivaliser avec Mercedes, mais au lieu de cela, ils se sont retrouvés derrière deux Mercedes et une McLaren. La baisse de performance de Ferrari depuis la victoire de Leclerc à Monaco a été attribuée à des améliorations à Barcelone qui ont provoqué des rebonds dans les virages à haute vitesse. Leclerc a expliqué que ces rebonds devenaient plus prononcés à mesure que la charge de carburant diminuait, ce qui entraînait plus de difficultés dans le dernier relais de la course. Cependant, il a précisé que le problème n’était pas grave.
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